Situé au cœur des enjeux industriels et des politiques publiques, le gf2i explore, revisite et confronte les points de vue publics et privés, anciens et nouveaux, connus et moins connus, nationaux et internationaux.
Chercheurs, représentants de l’administration, chefs d’entreprise, ingénieurs, experts de la data ou du marketing, consultants, professionnels libéraux conduisent ensemble une réflexion approfondie, à visée opérationnelle.
L’objectif commun de nos ateliers est d’apprendre en permanence, d’identifier les « use-cases » les plus pertinents (manière d’utiliser un système qui a une valeur ou une utilité pour les acteurs impliqués), de confronter nos modes opératoires afin d’établir des « best practices » et de faire émerger des solutions concrètes, innovantes et répondant aux impératifs de nos membres.
« Le gf2i s’intéresse à toute la chaîne de création de valeur de la donnée textuelle : production, collecte, enrichissement (amélioration par l’humain ou par l’intelligence artificielle), diffusion (à qui, comment et combien ?) et réutilisation par des tiers. Ce cycle interroge la gouvernance, la sécurité, les droits et le management. Les Data Protection Officers, Chief Data Officers, juristes, ingénieurs, DSI, experts data font progresser notre écosystème. »
A ce jour, le gf2i compte 4 ateliers
Groupe Intelligence Artificielle et Science Ouverte
Cet atelier vise à mieux appréhender, décrypter et anticiper les enjeux et l’impact des technologies de la connaissance sur les usages et les modèles économiques.
Ses animateurs sont Thomas Parisot (Cairn.Info), Yann Mahé (MyScienceWork) et Antoine Raulin (Bureau van Dijk Information Management).
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Groupe Ouverture et Valorisation des Données publiques et privées
L’atelier Ouverture et Valorisation des Données publiques et privées est consacré à l’ouverture et à la réutilisation des données publiques et privées, tant au niveau français qu’européen. Il s’intéresse également aux modèles de valorisation des données, ainsi qu’à l’éventuelle rémunération des producteurs des données, sans oublier les modalités de suivi et de contrôle des interactions avec les ré-utilisateurs.
Ses animateurs sont Denis Berthault (LexisNexis) et Frédéric Cantat (IGN – Institut national de l’information géographique et forestière) et Olivier Delteil (DINUM).
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Groupe Analyse de l’information stratégique, évaluation des risques et opportunités
Veille, sourcing et analyse d’informations stratégiques prennent une nouvelle dimension avec l’irruption de l’IA.
Ses animateurs sont Sylvie Sage (Deloitte France), Séverine Noyelle (Crédit Agricole) et Mathieu Andro (Services du 1er Ministre).
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Groupe Economie des données de Santé
Echanger sur l’économie des données lors des stades de production, d’utilisation et de transformation. Etudier plus particulièrement les méthodes de production, l’aspect sécurité, protection de l’identité de la personne, utilisations et conditions, statistiques, recherche…
Ses animateurs sont Lorraine Maisnier-Boché (McDermott Will & Emery AARPI), Norbert Paquel (Canope).
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« Ces activités nécessitent d’exposer des faits, de poser des diagnostics, de formuler des arguments, de proposer des idées, de convaincre, de donner du sens à une action ou à un projet. »
Les ateliers du gf2i sont destinés à croiser les points de vue sur les aspects juridiques, techniques et économiques de chaque sujet, à ouvrir les réflexions de manière transversale et à mener une réflexion stratégique.
« Réunir les professionnels des industries et de la connaissance et de la donnée constitue la condition sine qua non de notre projet. À titre d’illustration, dans un contexte marqué par de très profondes évolutions du secteur de la publication scientifique (dans ses formats, ses acteurs et ses modèles économiques), l’atelier « Open science » du gf2i a constitué ces dernières années un des rares lieux où acteurs publics et privés français (mais aussi belges et suisses) ont pu croiser leurs données et leurs analyses, pour esquisser peu à peu les contours des futures collaborations qui s’annoncent entre universités, éditeurs et plateformes. Cette contribution au débat public s’avère d’autant plus déterminante que les politiques publiques françaises et européennes se construisent peu à peu sur ces questions complexes, et que se joue probablement à ce niveau une part de notre souveraineté numérique de demain. »
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